Hello tout le monde j’espère que vous allez par ici!
Aujourd’hui sur le blog il est temps de mettre en avant le plus parisien des cabarets, le PARADIS LATIN.
Pour la petite histoire, le Paradis Latin est un cabaret de music-hall parisien construit en 1989 par Gustave Eiffel. Un symbole du Paris nocturne, festif et de la culture française. En une phrase, un endroit hors du temps! 🙂 🙂 Si bien que j’en ai gardé encore les étoiles pleins les yeux….
Vous vous demandez surement pourquoi je vous parle de ça?
Et bien, tout simplement parce que le 20 Septembre dernier j’ai eu l’occasion de découvrir leur dernière revue “ PARADIS A LA FOLIE” le temps d’un diner spectacle. Une revue pétillante avec un des plus beaux et typiques French Cancan de Paris. On y découvre danseurs, jongleurs et acrobates qui nous font vivre une soirée inoubliable.
Vous l’aurez compris, j’ai passé une agréable soirée que je vous invite à découvrir sur les clichés ci dessous…Let’s go pour exploration made in Angeamourelle 😎 .
On commence par une visite guidée du magnifique décor, des coulisse avec en prime l’essayage de la mythique jupe French Cancan…Wahoo! vous n’imaginez même pas comment j’étais trop happy …
On passe au diner….
Ensuite, place au show avec des costumes à vous couper le souffle 🙂 🙂 .Un spectacle mené par un maître de cérémonie plein d’enthousiasme qui nous emporte dans l’univers du cabaret.
Confidentialité de la revue oblige, je ne vous dévoilerais pas tout( excepté un petit extrait de 4 secondes 😉 ). Pour la suite, je vous invite à vivre l’expérience Cabaret en vous rendant sur le site ici: www.paradislatin.com.
C’est en plein cœur de paris ,28 Rue du Cardinal Lemoine 75005.
Au fait, le cabaret m’avait proposé d’organiser un concours qui donne la possibilité de faire gagner une Revue Coupe Champagne. Direction ➡ ➡ mon compte instagram pour connaitre le nom du gagnant.
Merci à l’équipe Paradis Latin pour cette agréable soirée et pour ce sympathique accueil.. A très vite
Je vous laisse et vous dis à très vite pour d’autres partages 🙂 .

